Animer des ateliers auto-hypnose en groupe pour les patients douloureux chroniques - Sophie COHEN
Au cours de cet atelier, j'expose le travail effectué en relation avec le Réseau "Lutter Contre la Douleur".
Le réseau reçoit des personnes en consultation adressées par des médecins généralistes ou spécialistes de ville. Le médecin du Réseau évalue leur traitement et soins et les adresse éventuellement à des professionnels qui pratiquent la kinésithérapie, l'hypnose, la relaxation, méditation.
Depuis quelques années, j'anime de ce fait, des groupes de patients porteurs de douleurs chroniques.
Les résultats obtenus et évalués par des questionnaires passés avant et après l'atelier, puis 6 à 12 mois après, sont présentés.
Sophie COHEN enseigne à Marseille à l'Institut HYPNOTIM, à Paris au CHTIP
Elle est rédactrice en chef de la Revue Hypnose et Thérapies Brèves.
Elle est responsable pédagogique chez HYPNOTIM et anime les ateliers douleurs
Le réseau reçoit des personnes en consultation adressées par des médecins généralistes ou spécialistes de ville. Le médecin du Réseau évalue leur traitement et soins et les adresse éventuellement à des professionnels qui pratiquent la kinésithérapie, l'hypnose, la relaxation, méditation.
Depuis quelques années, j'anime de ce fait, des groupes de patients porteurs de douleurs chroniques.
Les résultats obtenus et évalués par des questionnaires passés avant et après l'atelier, puis 6 à 12 mois après, sont présentés.
Sophie COHEN enseigne à Marseille à l'Institut HYPNOTIM, à Paris au CHTIP
Elle est rédactrice en chef de la Revue Hypnose et Thérapies Brèves.
Elle est responsable pédagogique chez HYPNOTIM et anime les ateliers douleurs
Intérieur-Extérieur - Laurence ADJADJ au Congrès Hypnose et Douleur 2016
Dans son parcours de soin, le patient est face à des difficultés multiples qui sont liées à son état intérieur et qui rejaillit aussi sur la perception de son état extérieur. Ce dernier a du mal à investir son intérieur ce qui peut modifier sa propre vision de son extérieur.
Il s’agit de vous présenter une technique qui permet au patient de visiter son intérieur et son extérieur en s’appuyant sur la technique de Ernest L Rossi qui repose sur l’alliance du corps et de l’esprit. Comme le souligne Ernest L Rossi dans Psychobiologie de la guérison (2002), la vie est un système d’informations, et aujourd’hui, nous parlons de quantique…
A travers cette technique que je vous propose, le patient peut rentrer dans une phase de rénovation, de réparation intérieure tout en s’équipant à l’extérieur…
Cette approche lui permet de se relier avec les organes de son corps qui sont endommagés pour le rendre acteur de sa propre rénovation intérieure.
Dans cet atelier « intérieur-extérieur », il s’agit de travailler sur les phénomènes psycho-somatiques en donnant la possibilité au patient de faire un état des lieux de son intérieur et de son extérieur telle une habitation et le projeter vers sa propre réhabilitation…
N’est il pas le rôle du thérapeute qui pratique le travail hypnotique que de conduire le patient à réassocier et réorganiser ses complexités psychologiques internes et à utiliser ses capacités propres d’une façon qui soit en cohérence avec ses apprentissages singuliers de la vie ?
Depuis son intérieur plus ou moins confortable, le regard tourné vers une fenêtre qui s’ouvre sur l’extérieur, et là bas au gré du vent ces feuilles sur cet arbre, ces feuilles librement… dans le mouvement du vent… qui emporte… et bien plus encore…
Laurence ADJADJ est hypnothérapeute, et dirige le Centre Hypnotim, institut de formation en hypnose et thérapies brèves intégratives de Marseille
Il s’agit de vous présenter une technique qui permet au patient de visiter son intérieur et son extérieur en s’appuyant sur la technique de Ernest L Rossi qui repose sur l’alliance du corps et de l’esprit. Comme le souligne Ernest L Rossi dans Psychobiologie de la guérison (2002), la vie est un système d’informations, et aujourd’hui, nous parlons de quantique…
A travers cette technique que je vous propose, le patient peut rentrer dans une phase de rénovation, de réparation intérieure tout en s’équipant à l’extérieur…
Cette approche lui permet de se relier avec les organes de son corps qui sont endommagés pour le rendre acteur de sa propre rénovation intérieure.
Dans cet atelier « intérieur-extérieur », il s’agit de travailler sur les phénomènes psycho-somatiques en donnant la possibilité au patient de faire un état des lieux de son intérieur et de son extérieur telle une habitation et le projeter vers sa propre réhabilitation…
N’est il pas le rôle du thérapeute qui pratique le travail hypnotique que de conduire le patient à réassocier et réorganiser ses complexités psychologiques internes et à utiliser ses capacités propres d’une façon qui soit en cohérence avec ses apprentissages singuliers de la vie ?
Depuis son intérieur plus ou moins confortable, le regard tourné vers une fenêtre qui s’ouvre sur l’extérieur, et là bas au gré du vent ces feuilles sur cet arbre, ces feuilles librement… dans le mouvement du vent… qui emporte… et bien plus encore…
Laurence ADJADJ est hypnothérapeute, et dirige le Centre Hypnotim, institut de formation en hypnose et thérapies brèves intégratives de Marseille
L'hypnose en milieu médical : la positive attitude - Luxembourg Wort
L'hypnose. Un gros mot qui n'en est pas vraiment un. On ne vous parle pas ici des numéros rocambolesques de Messmer, mais plutôt d'une hypnose plus douce, moins impressionnante, plus humaine.
C'est à l'hôpital Robert Schuman, au Kirchberg, que cette pratique est employée, depuis maintenant trois ans. Aurélie, jeune infirmière, a suivi une formation dans ce sens. Elle «hypnotise» ses patients.
Une situation que l'on «vit tous les jours»
En réalité, elle ne fait que leur parler. «On parle ici d'hypnose conversationnelle. L'hypnose n'est qu'un état de conscience modifiée: on le vit presque tous les jours.
Lorsque vous lisez un livre et que quelqu'un vous parle sans que vous le remarquiez, c'est ça l'état second. Notre corps est ici mais on a la tête ailleurs. Nous recréons cette atmosphère afin que le patient oublie qu'il se trouve dans un bloc opératoire», explique-t-elle.
Ainsi, les mots «douleur» et «mal» sont bannis du bloc opératoire. Tout doit être toujours positif. «Il faut comprendre une chose: notre inconscient a l'âge d'un enfant de 7-8 ans. Si on dit à quelqu'un *ne pensez pas à un éléphant rose*, il va le faire. C'est pareil en milieu hospitalier: si vous dites à un patient *ne vous inquiétez pas*, il va forcément relever le mot "inquiéter" et commencera à douter», explique-t-elle.
Le but ici est que le patient pense à autre chose. «Venir à l'hôpital, subir une chirurgie, quelle qu'elle soit, reste une agression pour le corps. On est toujours stressé à l'hôpital, et cette façon de traiter le patient, avec l'hypnose, aide sans aucun doute», souligne Philippe Welter, anesthésiste.
Comment ça marche ?
Le terme d'hypnose rend sceptique bon nombre de personnes. «C'est faux», «je n'y crois pas» «ça ne marche qu'avec certaines personnes, qui y croient» etc. J'étais moi-même quelque peu sceptique mais curieuse de voir le travail qu'accomplissent ces médecins.
Aurélie me propose donc de tenter moi-même l'expérience. Quoi de mieux que de vivre la situation pour pouvoir la retranscrire ? J'accepte.
Assise confortablement sur une chaise, elle se place devant moi. Pour commencer, nous discutons simplement: hobbies, lieu de vacances, travail etc. Puis, d'une voix très douce et apaisante, elle me demande de fermer les yeux.
Nous partons alors sur une plage, à regarder paisiblement le ciel bleu. Cela peut paraître très cliché mais ça fonctionne. «Vos muscles se détendent, votre respiration est profonde», souligne Aurélie. Et ça marche. Spontanément, mon corps suit les directives de la jeune infirmière.
Mes muscles se relâchent, et je suis simplement le son de sa voix. Ma respiration se fait plus lente et profonde. «Profitez de ce moment pour vous. Loin de tout, juste vous et vos pensées.
Vous allez repartir d'ici en pleine forme, revitaliser, prête à retourner au travail avec entrain et bonne humeur», continue Aurélie. Je souris à cette pensée et ouvre alors les yeux, notre petite séance touchant à sa fin.
«Tout se joue sur la communication»
En cinq minutes, Aurélie a su recréer une atmosphère, un temps «donné pour soi», paisible et loin du moment présent. Ces simples mots ont réussi à peser sur mon inconscient. «Les patients ne remarquent pas que c'est de l'hypnose. Ce sont simplement des subtilités de langage à prendre en compte. On fait attention à ce qu'on dit et on tâche de toujours rester positif», souligne Aurélie.
Une patiente a même confirmé les bienfaits de cette méthode. Hypnotisée par Aurélie, elle en a redemandé. «A choisir entre la méthode normale et la vôtre, je choisis sans hésiter la vôtre! Je ne sais pas ce que vous m'avez fait mais merci, je me sens bien», raconte-t-elle.
En effet, cette méthode alternative apporte des résultats. «Lorsque nous commençons l'hypnose au bloc, nous voyons sur le monitoring que la tension baisse, les battements du cœur ralentissent aussi, retrouvent un rythme normal. La respiration est plus lente et le patient est calme, dans son monde. Son corps est au bloc, mais sa tête est ailleurs. Nous avons donc besoin de moins de médicaments, pour l'endormir et pendant l'opération.
Le patient s'endort avec des images positives en tête et se reveille plus facilement après l'opération. On voit également une meilleure guérison, moins de complications. C'est prouvé», souligne Aurélie.
C'est à l'hôpital Robert Schuman, au Kirchberg, que cette pratique est employée, depuis maintenant trois ans. Aurélie, jeune infirmière, a suivi une formation dans ce sens. Elle «hypnotise» ses patients.
Une situation que l'on «vit tous les jours»
En réalité, elle ne fait que leur parler. «On parle ici d'hypnose conversationnelle. L'hypnose n'est qu'un état de conscience modifiée: on le vit presque tous les jours.
Lorsque vous lisez un livre et que quelqu'un vous parle sans que vous le remarquiez, c'est ça l'état second. Notre corps est ici mais on a la tête ailleurs. Nous recréons cette atmosphère afin que le patient oublie qu'il se trouve dans un bloc opératoire», explique-t-elle.
Ainsi, les mots «douleur» et «mal» sont bannis du bloc opératoire. Tout doit être toujours positif. «Il faut comprendre une chose: notre inconscient a l'âge d'un enfant de 7-8 ans. Si on dit à quelqu'un *ne pensez pas à un éléphant rose*, il va le faire. C'est pareil en milieu hospitalier: si vous dites à un patient *ne vous inquiétez pas*, il va forcément relever le mot "inquiéter" et commencera à douter», explique-t-elle.
Le but ici est que le patient pense à autre chose. «Venir à l'hôpital, subir une chirurgie, quelle qu'elle soit, reste une agression pour le corps. On est toujours stressé à l'hôpital, et cette façon de traiter le patient, avec l'hypnose, aide sans aucun doute», souligne Philippe Welter, anesthésiste.
Comment ça marche ?
Le terme d'hypnose rend sceptique bon nombre de personnes. «C'est faux», «je n'y crois pas» «ça ne marche qu'avec certaines personnes, qui y croient» etc. J'étais moi-même quelque peu sceptique mais curieuse de voir le travail qu'accomplissent ces médecins.
Aurélie me propose donc de tenter moi-même l'expérience. Quoi de mieux que de vivre la situation pour pouvoir la retranscrire ? J'accepte.
Assise confortablement sur une chaise, elle se place devant moi. Pour commencer, nous discutons simplement: hobbies, lieu de vacances, travail etc. Puis, d'une voix très douce et apaisante, elle me demande de fermer les yeux.
Nous partons alors sur une plage, à regarder paisiblement le ciel bleu. Cela peut paraître très cliché mais ça fonctionne. «Vos muscles se détendent, votre respiration est profonde», souligne Aurélie. Et ça marche. Spontanément, mon corps suit les directives de la jeune infirmière.
Mes muscles se relâchent, et je suis simplement le son de sa voix. Ma respiration se fait plus lente et profonde. «Profitez de ce moment pour vous. Loin de tout, juste vous et vos pensées.
Vous allez repartir d'ici en pleine forme, revitaliser, prête à retourner au travail avec entrain et bonne humeur», continue Aurélie. Je souris à cette pensée et ouvre alors les yeux, notre petite séance touchant à sa fin.
«Tout se joue sur la communication»
En cinq minutes, Aurélie a su recréer une atmosphère, un temps «donné pour soi», paisible et loin du moment présent. Ces simples mots ont réussi à peser sur mon inconscient. «Les patients ne remarquent pas que c'est de l'hypnose. Ce sont simplement des subtilités de langage à prendre en compte. On fait attention à ce qu'on dit et on tâche de toujours rester positif», souligne Aurélie.
Une patiente a même confirmé les bienfaits de cette méthode. Hypnotisée par Aurélie, elle en a redemandé. «A choisir entre la méthode normale et la vôtre, je choisis sans hésiter la vôtre! Je ne sais pas ce que vous m'avez fait mais merci, je me sens bien», raconte-t-elle.
En effet, cette méthode alternative apporte des résultats. «Lorsque nous commençons l'hypnose au bloc, nous voyons sur le monitoring que la tension baisse, les battements du cœur ralentissent aussi, retrouvent un rythme normal. La respiration est plus lente et le patient est calme, dans son monde. Son corps est au bloc, mais sa tête est ailleurs. Nous avons donc besoin de moins de médicaments, pour l'endormir et pendant l'opération.
Le patient s'endort avec des images positives en tête et se reveille plus facilement après l'opération. On voit également une meilleure guérison, moins de complications. C'est prouvé», souligne Aurélie.
Le Brainspotting ou comment se soigner avec les yeux -
Une approche bien proche de l'EMDR-IMO !!! Nous restons dans la l'expectative
Cette technique permet, grâce à des positions oculaires précises, de localiser dans le corps la source d’un traumatisme et de stimuler les facultés d’auto-guérison du cerveau.
En quelques séances, le brainspotting peut donner des résultats stupéfiants sur des maux tels que phobies, angoisses, anxiété, addictions, traumatismes psychologiques, troubles psychosomatiques… là où il faudrait plusieurs années en psychothérapie classique.
Quel est le principe du Brainspotting ?
La devise du Brainspotting est la suivante : « La direction de votre regard influence la façon dont vous vous sentez ». En clair, si quelque chose vous ennuie, la perception que vous en avez changera littéralement si vous portez votre regard à droite ou s’il se dirige vers la gauche.
Nos yeux et notre cerveau sont étroitement reliés. Les signaux envoyés par nos yeux sont traités en profondeur dans le cerveau qui les digère et organise toutes nos expériences. Cependant, il arrive qu’un traumatisme puisse perturber la capacité du cerveau à traiter une mauvaise expérience et certains éléments restent alors figés, ancrés quelque part dans notre cerveau, sans avoir été traités.
Le Brainspotting permet, grâce à des positions oculaires précises, de localiser la source du traumatisme : cette technique utilise notre champ de vision pour détecter à quels endroits de notre cerveau nous conservons ces traumatismes.
En maintenant le regard centré sur un point particulier à l’extérieur (brainspot signifie d’ailleurs point de fixation), on permet au cerveau de rester focalisé sur l’endroit interne spécifique dans lequel le traumatisme est stocké afin de favoriser le traitement profond permettant d’évacuer et de résoudre ce traumatisme.
L’importance du brainspot
Un « brainspot » correspond à une position oculaire qui est liée à l’activation énergétique/émotionnelle d’un élément au sein du cerveau et qui est chargée sur le plan traumatique/émotionnel.
Pour trouver le « brainspot », le thérapeute décrit un mouvement de balayage devant les yeux du patient et, en quelques instants, à un endroit précis du champ de vision, le cerveau profond signale par un réflexe oculaire qu’une zone pertinente a été localisée. Ce réflexe oculaire peut se présenter sous différentes formes, comme des tics oculaires, des vacillements, des figements, des clignements des yeux, une dilatation des pupilles, une constriction, un rétrécissement, et même sous forme de tics faciaux, voire de mouvements au niveau des pieds, et de déplacements subtiles du corps.
Lorsque le brainspot est trouvé, le patient fixe son regard sur ce point pendant plusieurs minutes, ce qui fait resurgir un flot d’images et de sensations corporelles. En effet, le fait de fixer le brainspot aide le cerveau à rester focalisé sur les zones neuronales problématiques et à commencer à trouver une solution.
Cette technique permet, grâce à des positions oculaires précises, de localiser dans le corps la source d’un traumatisme et de stimuler les facultés d’auto-guérison du cerveau.
En quelques séances, le brainspotting peut donner des résultats stupéfiants sur des maux tels que phobies, angoisses, anxiété, addictions, traumatismes psychologiques, troubles psychosomatiques… là où il faudrait plusieurs années en psychothérapie classique.
Quel est le principe du Brainspotting ?
La devise du Brainspotting est la suivante : « La direction de votre regard influence la façon dont vous vous sentez ». En clair, si quelque chose vous ennuie, la perception que vous en avez changera littéralement si vous portez votre regard à droite ou s’il se dirige vers la gauche.
Nos yeux et notre cerveau sont étroitement reliés. Les signaux envoyés par nos yeux sont traités en profondeur dans le cerveau qui les digère et organise toutes nos expériences. Cependant, il arrive qu’un traumatisme puisse perturber la capacité du cerveau à traiter une mauvaise expérience et certains éléments restent alors figés, ancrés quelque part dans notre cerveau, sans avoir été traités.
Le Brainspotting permet, grâce à des positions oculaires précises, de localiser la source du traumatisme : cette technique utilise notre champ de vision pour détecter à quels endroits de notre cerveau nous conservons ces traumatismes.
En maintenant le regard centré sur un point particulier à l’extérieur (brainspot signifie d’ailleurs point de fixation), on permet au cerveau de rester focalisé sur l’endroit interne spécifique dans lequel le traumatisme est stocké afin de favoriser le traitement profond permettant d’évacuer et de résoudre ce traumatisme.
L’importance du brainspot
Un « brainspot » correspond à une position oculaire qui est liée à l’activation énergétique/émotionnelle d’un élément au sein du cerveau et qui est chargée sur le plan traumatique/émotionnel.
Pour trouver le « brainspot », le thérapeute décrit un mouvement de balayage devant les yeux du patient et, en quelques instants, à un endroit précis du champ de vision, le cerveau profond signale par un réflexe oculaire qu’une zone pertinente a été localisée. Ce réflexe oculaire peut se présenter sous différentes formes, comme des tics oculaires, des vacillements, des figements, des clignements des yeux, une dilatation des pupilles, une constriction, un rétrécissement, et même sous forme de tics faciaux, voire de mouvements au niveau des pieds, et de déplacements subtiles du corps.
Lorsque le brainspot est trouvé, le patient fixe son regard sur ce point pendant plusieurs minutes, ce qui fait resurgir un flot d’images et de sensations corporelles. En effet, le fait de fixer le brainspot aide le cerveau à rester focalisé sur les zones neuronales problématiques et à commencer à trouver une solution.
L’hypnose s’invite au bloc - IFH
Le CHU de Rouen propose un reportage sur l’utilisation de l’hypnose au bloc opératoire au sein de leurs hôpitaux.
Delphine Provost, médecin anesthésiste et Florentine Rousselin, infirmière anesthésiste au CHU de Rouen témoignent de leur pratique de l’hypnose. L’utilisation de l’hypnose au bloc opératoire est illustrée par une intervention ORL en anesthésie locale menée par le Pr Jean-Paul Marie, chef de service ORL. Florentine Rousselin rappelle que l’hypnose permet également de diminuer les effets secondaires post-opératoires.
Delphine Provost, médecin anesthésiste et Florentine Rousselin, infirmière anesthésiste au CHU de Rouen témoignent de leur pratique de l’hypnose. L’utilisation de l’hypnose au bloc opératoire est illustrée par une intervention ORL en anesthésie locale menée par le Pr Jean-Paul Marie, chef de service ORL. Florentine Rousselin rappelle que l’hypnose permet également de diminuer les effets secondaires post-opératoires.